Ognuno recita il proprio ruolo, immerso in quella divina sensazione di devozione allo scopo comune: la realizzazione di un'opera d'arte, che anche la bonifica bellica sa idealizzare.

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Ognuno recita il proprio ruolo, immerso in quella divina sensazione di devozione allo scopo comune: la realizzazione di un'opera d'arte, che anche la bonifica bellica sa idealizzare.

Des décharges d’armes chimiques au large des côtes françaises : une “bombe à retardement”

Categories: RESIDUATI BELLICI IN FRANCIA E BELGIO

Belgio

05/06/2022 Francia, Bretagna, Morbihan, Lorient, Groix

“If you ever come across anything suspicious like this item, please do not pick it up, contact your local law enforcement agency for assistance”

Par Rédaction Enquêtes

« Du côté de Groix, beaucoup d’obus ont été immergés. À la truie d’Arradon, on trouve encore des munitions de mitraillettes dans la vase. » Claude Dréau, plongeur du Club subaquatique des vénètes de Vannes, croise « couramment » des armes lors de ses sorties en plongée dans les eaux du Morbihan. En France, 62 décharges maritimes d’armes ont été recensées le long de la Manche et des côtes Atlantique. Et ce n’est qu’une estimation. Bertrand Sciboz, directeur du Ceres (Centre de recherches sous-marines), basé à Montfarville (Manche), a « été confronté à un nombre considérable de munitions, toutes signalées à la gendarmerie puis à la préfecture maritime qui fait intervenir les plongeurs-démineurs pour déminer et contre-miner ». Selon lui, les armes présentes dans la mer proviennent essentiellement des épaves, se disséminant au fil du temps. Le directeur du Ceres a en tête un chaland « volontairement coulé par l’Armée » entre Saint-Vaast-la-Hougue et Barfleur, « alors qu’il était chargé de munitions allemandes après la guerre ». Mais Bertrand Sciboz ne l’a jamais vu : « À l’heure qu’il est, il doit être désagrégé. »

Premières immersions dans les années 1920

Ces munitions chimiques ou conventionnelles enfouies sous la surface des mers représentent « une bombe à retardement », selon l’Organisation non gouvernementale (ONG) de défense des océans, Sea Shepherd. C’est pour elle une « catastrophe sans précédent ». À l’issue des deux Guerres mondiales, les belligérants se sont servis de la mer comme d’une poubelle pour se débarrasser d’armes hautement toxiques. « Il y a eu plusieurs centres de dépôts en France après la Première Guerre mondiale. Il y avait des quantités hallucinantes d’obus qui se retrouvaient dans des granges, avec des fuites, des accidents, des explosions. Dès 1917-1918, il a fallu prendre des mesures d’urgence. La meilleure solution a été trouvée de les noyer en mer », explique Jacques Lœuille, réalisateur du documentaire Menaces en mers du Nord.

Photo-Source: actu.fr

Par sécurité, la police conseille à la population de ne pas toucher ou déplacer ce genre de munitions.

Biographie d’une Bombe

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