14/08/2022 Francia, Grand Est, Mosa
“If you ever come across anything suspicious like this item, please do not pick it up, contact your local law enforcement agency for assistance”
Par Agence de presse APEI- Publié le 9 Août 22 à 18:05
Les séquelles laissées par la Première Guerre mondiale dans La Meuse sont visibles un peu partout. La plupart de ses musées et de ses sites touristiques font d’ailleurs référence à ce passé. Mais il existe aussi des traces de cette période plus difficile à percevoir. C’est le cas des villages qui furent totalement détruits pendant la guerre et desquels il ne reste plus rien. Si certains ont été reconstruits, neuf n’ont pas eu cette chance.
Des villages dans la « Zone rouge »
Ainsi, Beaumont-en-Verdunois, Bezonvaux, Cumières-le-Mort-Homme, Douaumont, Fleury-devant-Douaumont, Haumont-près-Samogneux, Louvemont-Côte-du-Poivre, Ornes et Vaux-devant-Damloup, sont aujourd’hui des villages fantômes, maintenus dans leur état d’origine afin de garder une trace de l’horreur de la guerre de 1914-1918. Et ainsi participer au devoir de mémoire. Ces neuf villages, « Mort pour la France », sont tous situés dans la « Zone rouge ». Au lendemain de la guerre, certaines activités ont été provisoirement ou définitivement interdites sur 120 000 hectares situés aux abords des lignes de front et des champs de bataille. Entre les débris de munitions, les obus, les terres saccagées et l’abondance de cadavre, certaines de ces parcelles n’ont jamais été totalement réhabilités. Il ne reste aujourd’hui plus que le panneau d’entrée et les vestiges d’habitation. Les lieux de résidence et de vies sont symbolisés pour permettre aux visiteurs d’imaginer ce qu’ont été, un jour, ces villages.
Par sécurité, la police conseille à la population de ne pas toucher ou déplacer ce genre de munitions.
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